Ces milliardaires qui nais sent et pullulent a une fréquence hors controle, 6000 rein qu'au Maroc en un temps record. Ces prix qui flambent exponentiellement et ne se rétalissent jamais, ces sergents chameliers qui croulent sous les médialles glanées en fauteuil et qui ont pris leur peuple en tenaille, ses avions a réaction acquis au prix orbital dépassant la production nationale en blé chacune et qui aujourd'hui bombardent les maisons de citoyens civils au Soudan et en Afrique. Ces Européens qui offre kes parapluies aux familles des dirigeants Africains moyennant l'accaparation des ressources du pays, ces dirigeants et ministres a double nationalité et n'eprouve aucune honte a administrer un pays qu'ils ont refusé d'en etre le citoyen. Ces milliers d'affamés qui migrent clandestinement ayant perdu tout espoir dans leur pays.

La honte d'etre humain : triste arme de guerre, le viol des bébés
L'histoire de l’Humanité n'est qu'une suite perpetuelle de crimes, vengeances et domination.
En tout temps et lieu, tout au long de la triste Histoire de l’Humanité, le viol a été utilisé comme arme de guerre.
Des soldats, miliciens ou groupes armés victorieux ou en déroute, ont pratiqué le viol a outrance>br> Madame Ertürk, rapporteur spécial du Conseil des Droits de l’homme des Nations unies
Lieu: Les provinces de l’Est de la République démocratique du Congo (RDC)
Date: 2008
Les violences sexuelles dans les Kivus et l’Ituri, comme toujours quand il s’agit de viols et plus encore dans ce contexte. Cependant, toutes les organisations locales, humanitaires internationales ou onusiennes, s’accordent pour reconnaître une centaine de milliers de femmes violées dans l’Est de la RDC depuis 1996?Le rapport sur les violations des Droits de l’homme

Les violences sexuelles touchent également les hommes, qui n’ont qu’exceptionnellement le courage d’en parler, et seulement quand les répercussions physiologiques sont invalidantes. Les différents rapports signalent la concomitance des vagues de violences sexuelles et des combats ; dès le début de la seconde guerre du Congo, les journaux, les associations locales, les ONG internationales et les organismes onusiens se sont accordés pour dépeindre les violences sexuelles comme une arme de guerre
Il s’agit d’une utilisation systématique du viol par un groupe armé sur une population civile. Ici, il n’est plus question d’un « à côté de la guerre », d’un « dommage collatéral » ou d’une « distraction » pour la soldatesque mais bien d’une technique destinée à frapper la population ennemie. Le nombre des victimes est massif, des populations entières sont touchées : ainsi, toutes les femmes de tous les villages d’une zone donnée sont violées. L’agression elle-même change également de forme et correspond à un schéma récurrent : les viols sont presque toujours collectifs, incluent de manière répétée les vieilles femmes et les enfants ; les frères ou les pères sont forcés d’assister ou même de participer. L’ensemble des jeunes filles d’un village ou d’un car sont kidnappées et gardées comme esclaves sexuelles dans les campements des milices avant d’être abandonnées mortes ou vives dans une fosse. Le but, conscientisé ou non, est de détruire les réseaux familiaux, d’annihiler les réseaux de solidarité fondamentaux, et de rendre impossible la reproduction d’une certaine population et donc l’existence même du groupe visé. En effet, beaucoup de femmes violées dans ces conditions se retrouvent stériles. D’autre part, les enfants issus des viols, forcément ethniquement mixtes, lorsqu’ils ne sont pas abandonnés ou tués, sont exclus de la communauté ainsi que leur mère. Enfin, les jeunes filles, largement touchées par les agressions sexuelles, y perdent leur virginité et ne sont plus « mariables »